Au Pakistan, les imams ont convaincu les autorités de ne pas fermer les lieux de culte. Nuit après nuit, amis et familles célèbreront ensemble l’iftar.
Au Bangladesh, les dignitaires religieux ont balayé les recommandations sanitaires des autorités. Dans ce pays, le pouvoir a appelé à réduire la fréquentation dans les mosquées. « L’islam ne soutient pas l’imposition d’un quelconque quota de fidèles », a tonné un imam appartenant à l’un des principaux groupes d’imams du pays.