L’organisation économique du monde, l’exploitation de la force de travail, les classes sociales passent à l’arrière-plan. Comme ils disent, « le terme « racisé.es » met l’accent sur l’existence d’une barrière raciale en montrant bien qui se trouve du bon côté de celle-ci (celles et ceux qui ne sont justement pas considéré.es comme « racisé.es », à savoir les Blanc.he.s) et celles et ceux qui le sont ». Il y a donc ceux qui défendent les « racisés » de la manière conforme, et les autres, nécessairement racistes. Le mouvement syndical, historiquement voué à la libération de tous, devient un agent de la division. Il ne doit plus rassembler que des segments plus ou moins hostiles. Il faudra désormais s’excuser d’être.
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