Pour que « personne ne se (sente) obligé de croire ou de ne pas croire », le ministre a également insisté sur « l’importance de l’enseignement de la philosophie et du fait religieux ».
« Il ne faut admettre aucun phénomène de prosélytisme ni aucune pression », a-t-il dit, louant la loi de 2004 sur l’interdiction du port de signes religieux à l’école, un texte « simple et clair » qui doit être « appliqué ».