Contactés, l’épiscopat polonais et l’évêque local ont bien reconnu l’existence de cet autodafé mais se sont refusé à faire de moindre commentaire.
Le porte-parole de l’évêché de Koszalin, d’où vient la fondation «SMS des Cieux», a cependant condamné l’acte de brûler des livres, tout en dénonçant «les dangers spirituels liés à l’occultisme et à la magie» qui ont «un impact destructeur sur de nombreuses personnes».