Une belle langue arabe, mais insensible à l’impression, a pris du retard lorsque les caractères mobiles se sont développés à la Renaissance. L’écart s’est réduit au 19ème siècle et à l’ère numérique, mais les messages délivrés par les autocrates d’aujourd’hui dominent maintenant notre époque de «technologie de l’information erronée». Les guerres sur Twitter font autant partie du paysage arabe que les graffitis griffonnés sur des pierres tombales préislamiques.
2+