Nous saurons bientôt à quel point ces initiatives auront permis d’augmenter la participation des jeunes à l’élection présidentielle et si elles auront été les véritables porte-voix de leurs inquiétudes. Puis, à moyen terme, de la mesurer au fur et à mesure que le programme du nouveau Président sera mis en place.
Mais quel que soit le résultat de ce scrutin, la hausse continue de la précarité et de la désaffection vis-à-vis du politique montrent que s’adresser à la jeunesse n’a jamais été aussi important, tant en France que dans le reste du monde.