Une cordée 100% féminine du 93 à l’assaut du Kilimandjaro

« L’idée c’est qu’elles souffrent ici pour pouvoir être à l’aise là-bas », justifie Dorothée Lesnes« Quand on leur a expliqué le projet, on ne leur a pas menti. On leur a dit qu’il allait falloir gérer la haute altitude et devoir bien se préparer physiquement avant. On ne part pas gravir le Kilimandjaro les mains dans les poches », ajoute Dorothée Lesnes.

>> Lire aussi : « avec la volonté , on peut gravir des montagnes », le récit d’une ascension de l’Everest vécue par… l’auteur de l’article que vous êtes en train de lire et qui connait donc très bien l’intérêt de ce genre d’aventure