Une cordée 100% féminine du 93 à l’assaut du Kilimandjaro

Rayanne, 22 ans, étudiante en BTS, excitée à l’idée de partir, avoue tout de même qu’à J-deux-semaines du départ, le stress grandit un peu. « J’ai peur de craquer physiquement », lâche-t-elle. Même état d’esprit pour Selsabile qui « redoute les longues heures de marche ». Nourayat, elle, ne sait pas si elle va supporter le changement d’attitude.

Il faut dire que parmi toutes ces jeunes femmes, aucune n’est vraiment sportive. « Mais on s’entraîne dur », précise Nourayat qui a perdu 11 kilos en trois mois. Depuis février dernier, deux fois par semaine, en plus des footings ou des sorties à Fontainebleau, les futures Kilimandjaristes charbonnent sérieusement avec un coach sportif. Au programme, squats, pompes, travail de renforcement musculaire, gainage, circuit training …