« L’idée c’est qu’elles souffrent ici pour pouvoir être à l’aise là-bas », justifie Dorothée Lesnes. « Quand on leur a expliqué le projet, on ne leur a pas menti. On leur a dit qu’il allait falloir gérer la haute altitude et devoir bien se préparer physiquement avant. On ne part pas gravir le Kilimandjaro les mains dans les poches », ajoute Dorothée Lesnes.
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