“Trois ans après la tragédie, la solidarité avec Charlie demeure une exigence morale, déclare encore le responsable de RSF, Christophe Deloire. La vie des salariés comme la survie économique du journal doivent être défendues car Charlie est un symbole que nous ne pouvons laisser tomber sauf à accepter une défaite face à l’intolérance religieuse”.
Soixante-dix pays sont encore dotés de lois réprimant le blasphème