Selon cette enquête, le racisme serait endémique chez les gays

Peu de choses ont été faites pour lutter contre les racismes dans la communauté LGBT, personne ne semble y trouver un sujet. Pourtant, sur les applis (qui voient régulièrement défiler les mentions « no black », « no asian »…), à la porte des clubs gays et même à l’intérieur, le problème existe comme partout ailleurs.

 

Et chez nous ?

Portée par ses discours anti-étrangers et nationalistes, la candidate de l’extrême droite Marine Le Pen est très appréciée par la communauté gay, d’après des sondages réguliers qui la place en seconde place, comme dans le vote national. Ceux-ci voient dans la diversité un danger pour le respect de leurs identités. Si tous ses électeurs ne sont pas racistes (et inversement, tous ceux qui combattent la candidate frontiste ou ne votent pas pour elle peuvent très bien l’être), beaucoup ne comprennent pas pourquoi ces derniers abandonnent l’universalisme qu’ils mettent en avant quand il s’agit de leurs droits.