A tel point, nous explique The New Statesman... que cela alerte la société Facebook, et l’oblige à battre sa coulpe publiquement : la firme californienne a révélé lundi les conclusions d’un rapport accablant sur sa responsabilité… dans la propagation d’appels à la haine et à la violence physique contre les Rohingyas ces deux dernières années. Sur Facebook, mais aussi sur leurs comptes Instagram, Whatsapp et Messenger, tous propriété du groupe Facebook, les dirigeants politiques du pays, ont trouvé une plateforme ultra-efficace pour répandre diffuser les thèses qui ont conduit, très concrètement, à la mort de dizaine de milliers de personne, et l’exode de centaines de milliers vers les pays voisins.
0