Leyla Dakhli, historienne tunisienne chargée de recherche au CNRS au Centre Marc Bloch sur des questions relatives au monde arabe est parfois venue nuancer les propos de l’auteur et les contextualiser. Son approche scientifique nous a permis de mesurer le paradoxe entre une apparente pudeur et une multitude de pratiques et de questionnements qui ont secoué les sociétés arabes jusqu’à nos jours. Des amours platoniques à la consommation de la pornographie, des rendez-vous interdits aux relations interdites, le spectre de l’amour est aussi large que les préoccupations qu’il soulève.
1+