Shikabala est la cible de ce type d’actes “depuis le premier jour où il a foulé un terrain de football”, en 2007, écrit le journaliste égyptien Waël Toufiq. Ce jour-là, des supporters d’Al-Ahly ont brandi dans les gradins une grande peluche noire représentant un singe. Ces dernières années, les attaques contre Shikabala “se sont amplifiées sur les réseaux sociaux”, où l’ensemble de sa famille est pris pour cible, explique le site libanais.
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