Quand la génétique a mis fin au concept de races humaines

Les ethnologues, comme Claude Lévi-Strauss, l’affirmaient depuis longtemps : il n’existe pas plusieurs races humaines. En 2000, une équipe de généticiens américains en a apporté la preuve définitive.

32 % Européen du Nord, 28 % Européen du Sud, 21 % Subsaharien et 14 % Asiatique du Sud-Ouest… Telles peuvent être les origines génétiques d’un individu. En séquençant pour la première fois le génome humain, en juin 2000, Craig Venter, un chercheur américain, a mis un point final au concept de race, qui a perdu tout fondement scientifique.