Selon elle, Abedi et son frère ont montré des signes de radicalisation bien avant l’attaque de Manchester. Mais elle souligne qu’un tel langage peut pousser de jeunes musulmans à se sentir victimisés en raison de leur religion, surtout lorsque les politiciens ne font aucun effort pour différencier les musulmans modérés et les extrémistes.
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