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Si ces propos enfreignent clairement les règles de Twitter ou de Facebook, le fait qu’ils soient tenus dans un groupe privé les rend plus difficilement attaquables. « Si ce n’est pas accessible au grand public, sauf par pur hasard, ce ne sont pas des propos publics, confirme l’avocat Eric Morain. Ils ne peuvent pas revêtir le caractère de diffamation ni d’injures publiques en raison de la race. »