Le califat a « nommé des gouverneurs, et même des juges incorruptibles et sages qui rendent la justice au nom d’Allah », assure-t-elle, invitant son père à venir voir « par (lui)-même le vrai visage du califat, celui de la grandeur d’Allah ».
« Je me rends compte de l’inutilité et du vide de ma vie d’avant », écrit-elle surtout, elle qui n’a plus de mots assez durs pour dénoncer « les chimères du nationalisme, du socialisme ou de l’occidentalisation à outrance ». « Tu croyais m’élever dans la liberté, mais tu ne faisais que reproduire un carcan dont tu es toi-même prisonnier. »