Netizen Report : les lois contre les insultes en ligne mettent les cyberactivistes en difficulté

L’un d’entre eux semble avoir été pris pour cible pour avoir administré un groupe WhatsApp portant sur les problèmes de la faculté, dont des allégations que les autorités universitaires avaient enfermé un employé pour avoir critiqué les politiques de l’établissement.

Ils ont tous été libérés sous caution le 3 juillet et ont quitté le centre de détention où ils se trouvaient depuis mars 2019, après avoir été inculpés au titre de la Loi sur la cybercriminalité du Nigéria. Ils sont accusés d’avoir envoyé de « faux messages » par le biais de réseaux sociaux, ayant généré « inconfort, malaise, risques, affront, préjudice et intimidation criminelle » à l’encontre de l’Université Madonna et de son chef de la sécurité, Titu Ugwu.