Eglise souillée, pas profanée
Selon Mgr Nicolas Brouwet, évêque de Tarbes et de Lourdes, les dégradations ne constituent pas une profanation au pur sens religieux du terme.
Ce mot est employé en effet seulement quand des objets liturgiques – autel, tabernacle, objets servant aux offices – sont dégradés ou volés. Les missels brûlés n’en font pas partie
Il s’agit dans ce cas-ci d’exactions et de souillures commises contre un lieu de culte.