Élu alors que le grand rabbin de Paris, Michel Gugenheim, était impliqué dans un scandale de chantage au guet, Haïm Korsia s’était engagé à s’appuyer sur les décisions du rabbinat européen prises à Berlin en novembre 2013, permettant aux femmes d’être moins démunies dans les situations où l’époux refuse d’accorder le guet après un divorce civil.
Une cellule, composée de personnalités religieuses et civiles, comme des avocats et des huissiers, a été créée au sein du grand rabbinat de France pour assister au cas par cas les femmes agounot.