Le pied dans le plâtre, Mohamed, 28 ans, originaire du Soudan, ne peut pas apporter son aide. Il s’est cassé la cheville en glissant dans le campement de la porte d’Aubervilliers.
« Cela faisait deux ans que j’étais là-bas », explique le Soudanais, qui indique avoir obtenu le statut de réfugié en 2017 et avoir un peu travaillé dans le bâtiment : « Mais ce n’est pas facile de travailler quand on dort dans la rue… »