Les personnes accueillies doivent notamment respecter des horaires et être présentes dans la salle de sport, entre 22 heures et 8h30 du matin.
« Il s’agit de personnes qui dorment dehors dans le froid. Un gymnase, c’est toujours mieux que la rue », insiste Vincent Berton, secrétaire général de la préfecture des Hauts-de-Seine, pour couper court à la polémique.
La préfecture ajoute que depuis 2015, une vingtaine de villes du département ont été mises à contribution, avec nécessairement des réquisitions d’équipements et des habitants privés de sport.