Vous avez ajouté, Monsieur le Président :
« Ces combats, nous devons les mener ensemble car ils concernent la place de l’islam en France, la sérénité de vos fidèles et en définitive, notre capacité commune à remplacer l’ignorance, voire la méfiance par un dialogue serein, capable seul de nous préserver des pièges de l’extrémisme, voire d’en éradiquer les germes, ici, en France. Les exceptions ou les concessions que cela peut requérir de la part des musulmans de France ne sont rien, comparées à l’avancée considérable que cela représenterait pour l’islam français et la société française dans son ensemble. »