Tous, en effet, espèrent transformer l’essai à domicile. « Il faut que notre pavillon soit le point de départ pour un futur musée au Ghana,martèle Ibrahim Mahama. On a besoin d’institutions qui donnent une conscience aux plus jeunes générations. »
Rien n’est acquis et le plus ardu est de durer. L’Angola, qui avait remporté le Lion d’or du meilleur pavillon en 2013 a disparu de la carte vénitienne, tout comme la Tunisie et le Nigeria, qui avaient participé une seule et unique fois en 2017. Joël Andrianomearisoa le dit sans détours : « Madagascar vit un moment historique, mais le tout est de savoir si c’est une première ou une dernière. »