Selon l’avocat de Jean-Claude Veillard, cet ancien militaire des forces spéciales était au contraire « contre tout accord avec des groupes armés ».
Il « n’a jamais eu de pouvoir de décision au sein de la société Lafarge et n’a cessé d’alerter ses interlocuteurs opérationnels », a expliqué à Reuters Me Sébastien Schapira.
Contraint de rester sur place
Bruno Pescheux, arrivé en Syrie en 2009, avait demandé son départ en 2013 mais n’a pu partir qu’en juin 2014, trois mois avant la fermeture de la cimenterie en septembre, a expliqué à Reuters son avocat, Me Daniel Soulez-Larivière.