Ainsi, en octobre dernier, Christian Herrault raconte aux enquêteurs que pour franchir certaines zones, le cimentier est obligé de payer des milices.
« On était dans une économie de racket, avec des groupes armés, alors que nous n’avions pas d’armes », explique aux enquêteurs le directeur général adjoint du groupe
(cf. l’enquête radiophonique de France Inter « Lafarge en Syrie : du ciment à tout prix », >> voir en pied d’article)