L’Algérie continue de s’enfoncer, à la 141e place. Il y a eu une ouverture au début du mouvement de contestation déclenché en février contre un nouveau mandat du président Abdelaziz Bouteflika, qui a démissionné depuis, a relevé M. Khayati. Néanmoins, « ces derniers temps, il y a un retour aux intimidations », a-t-il précisé. « On a le sentiment que le régime a sifflé la fin de la récréation et que les journalistes doivent rentrer dans le rang », même si ces derniers « continuent à assurer une couverture professionnelle ».
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