Depuis, il a en horreur les idéologies extrémistes. « Je suis anti-EI, anti-Nosra (branche syrienne d’el-Qaëda) et anti-Hezbollah. » « Nasrallah, libérant la Palestine depuis 2012, en aidant Assad à tuer les Syriens », tweete-t-il en 2015. La participation active du Hezbollah dans la répression de la rébellion antirégime l’a fait changer totalement d’avis sur le leader charismatique du parti chiite. Ses prises de position engendrent inéluctablement des réponses de la part d’une armée de trolls. « Ils ne peuvent pas me traiter d’islamiste, parce qu’ils savent que je suis contre eux, ou d’extrémiste, car je suis un expert de la déradicalisation, de pro-Qatar ou pro-Erdogan, parce que je m’oppose à tout le monde », ajoute-t-il. Alors certains se déchaînent sur ses origines palestiniennes, notamment en ce moment, à l’approche de la présentation du plan de paix concocté par Jared Kushner.
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