Cet agent de sécurité a passé la nuit dans la prison de la région où se trouve également le Nigérian demandeur d’asile et dealer soupçonné d’avoir assassiné cette semaine Pamela Mastropietro et d’avoir découpé son corps en morceaux.
Selon Francesco Clerico, propriétaire d’un club de gym de Macerata qui avait exclu Luca Traini en raison de son comportement extrémiste et déséquilibré, ce dernier « était tellement mal qu’il était allé voir un psychiatre ». « Le médecin avait jugé qu’il était un sujet « borderline » », a-t-il confié au Corriere della Sera.