Quand on se retournera dans quelques (dizaines ?) d’années sur la part la plus innommable de l’histoire politique de ce début de siècle, il est plus que probable que le drame des migrants morts en mer nous éclate au visage, comme une indélébile et collective honte.
Pour tous ces enfants bien sûr, frères et soeurs de misère et de peine du petit Aylan Kurdi, et leurs familles à qui les politiques migratoires de nos pays pourtant en paix ont choisi d’interdire l’espoir de simplement pouvoir survivre.