C’est le cas de l’ancien mari d’Eda Okutgen, tuée de plusieurs coups de poignard en novembre 2014, à Izmir. Condamné à la prison à perpétuité, il a ensuite obtenu l’annulation de cette peine. Il est actuellement rejugé et plaide la démence, explique Nazli Okutgen, soeur d’Eda.
L’état d’urgence instauré après le putsch manqué de juillet 2016 a encore aggravé la situation des femmes victimes de violences, affirme la Fondation pour la Solidarité des femmes, basée à Ankara.