Le gouvernement turc a beau admettre que ces chiffres sont inacceptables, les militants estiment que la situation va de mal en pis.
La tentative de viol et le meurtre brutal d’une étudiante de 20 ans, Özgecan Aslan, en 2015, avait pourtant provoqué une vague de colère en Turquie et beaucoup espéraient alors des avancées concrètes sur la question.
Nos femmes meurent et vous ne faites rien
Mais rien n’a changé, estime le père de Pinar Ünlüer, qui pointe des failles juridiques permettant aux tueurs d’invoquer des circonstances atténuantes.