Cet exemple est loin d’être un cas isolé. Selon notre enquête, des dizaines de sites et des centaines de pages Facebook font partie de cette chaîne de désinformation qui diffuse massivement des légendes urbaines et des fausses informations ou présente des canulars comme des faits avérés.
Des clics qui rapportent de l’argent
A l’origine de ce système, on trouve des sites de divertissement aux noms similaires : buzztrucs.com, ojobuzz.fr, momentbuzz.com, cool-buzz.net, topibuzz.com, buzzarena.com, buzz-vrai.com, buzzdefr.com, top-buzz.net, quebuzz.com…