Le Cnef voudrait en outre « que les programmes de l’Éducation nationale et les méthodes pédagogiques respectent la liberté de pensée, de conscience et de religion des élèves et de leurs parents, notamment s’agissant de l’éducation à la sexualité et de la présentation du fait religieux ».
Enfin, hostile au délit d’entrave numérique à l’interruption volontaire de grossesse (IVG) récemment entré dans le droit, le Conseil des évangéliques plaide pour « que la liberté d’expression et de communication soit garantie pour permettre la mise à disposition d’informations pluralistes sur ce sujet délicat ». AFP