Il encourrait une amende et une peine de prison de six mois pour ne pas avoir respecté une décision judiciaire de 2011 qui l’obligeait à faire cesser les patrouilles anti-immigrants qu’il avait mises en place ainsi que des mesures de profilage racial qui lui étaient imputées.
« Il mérite un pardon présidentiel »
Ses équipes avaient l’habitude d’arrêter des automobilistes d’origine hispanique sur de simples soupçons qu’ils se trouvaient en situation illégale.
Le shérif Joe Arpaio a maintenant 85 ans, et après plus de 50 ans d’admirable service pour notre pays, il mérite un pardon présidentiel », indique un communiqué de la Maison blanche. Pour enfoncer le clou, le président a tweeté tard vendredi : « Il a protégé l’Arizona! », écrit le président.
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