Pour éviter les abus du passé, le CIPD a mis en place un système de contrôle financier des budgets engagés avec les associations et d’évaluation des bonnes pratiques : parmi les critères, « la périodicité du suivi », « le nombre de rendez-vous », la mesure « de l’équilibre familial », du « repli sur soi » ou encore « des postures de conflits vis-à-vis des valeurs républicaines » ainsi que de « la pratique religieuse ». Le CIPD a également lancé une étude pour comprendre les raisons de sorties des programmes de déradicalisation.
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03.04.2017