Discours du 14 janvier 1850 lors de la discussion de la loi Falloux.
« Je ne veux pas de la loi qu’on vous apporte.
Pourquoi ?
Messieurs cette loi est une arme. Une arme n’est rien par elle-même, elle n’existe que par la main qui la saisit.
Or, quelle est la main qui se saisira de cette loi ? Là est toute la question.
Messieurs, c’est la main du parti clérical !
Messieurs, je redoute cette main, je veux briser l’arme, je repousse le projet.
Cela dit, j’entre dans la discussion.