Compte tenu du caractère exceptionnellement grave de la situation, il a souligné auprès du gouvernement la responsabilité qui leur incombe de faire cesser les situations où des personnes se trouvent dans un dénuement tel qu’il caractérise un traitement inhumain ou dégradant.
Soucieux que les exilés présents sur le territoire français, et en l’occurrence à Calais, puissent être traités dignement, conformément au droit et aux engagements internationaux liant la France, le Défenseur des droits réitère les recommandations émises dans son rapport publié le 6 octobre 2015 ou encore dans sa décision du 20 avril 2016.