Alors que Le Défenseur des droits avait déjà signalé dans ces précédentes décisions qu’une nouvelle évacuation du camp de la zone nord de Calais pouvait conduire à accentuer l’état de vulnérabilité des exilés déjà éprouvés par un parcours migratoire très difficile, Jacques Toubon a demandé à ses services de se rendre sur place lundi 12 juin 2017.
Le Défenseur des droits, à la suite de cette visite, a publié un compte-rendu demandant que soit dès à présent mis un terme aux atteintes aux droits fondamentaux les plus élémentaires dont sont victimes les exilés, notamment les mineurs, et qui demeurent à ce jour sans précédent.