Dans un quartier périphérique de Nouakchott, « là où elles sont le plus exposées aux risques de violence », Dioully Oumar Diallo cherche à ouvrir un espace où les femmes pourront faire du sport, lire, discuter ou suivre des cours. Son rêve est de « trouver un lieu où elles pourront se réapproprier leur corps et se retrouver librement, sans être jugées ou insultées ».
De l’appli au tatami, le combat de Dioully Oumar Diallo pour protéger les femmes mauritaniennes

L’ingénieure télécoms Dioully Oumar Diallo, à Nouakchott, le 2 mars 2020. CARMEN ABD ALI / AFP