Une loi rejetée deux fois
« Il n’y a pas d’espace public féminin en Mauritanie, rappelle Dioully Oumar Diallo. Les cours d’autodéfense, qui se sont arrêtés fin 2019 faute de financement, ont permis aux femmes d’apprendre à se défendre, mais également de passer un moment entre elles pour discuter librement de leur sexualité, des mariages forcés… La situation reste d’autant plus difficile dans le pays que si une femme porte plainte pour viol, elle n’est pas à l’abri d’être accusée d’adultère. »
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