« Les techniques que j’ai apprises m’ont donné confiance en moi », explique Fatimata Sow, qui a suivi les cours pendant un an après une agression sexuelle chez elle : « Pendant les entraînements, je retrouvais des copines et on s’échangeait des conseils. Progressivement, je suis devenue moins timide. » Pour ces femmes de tous âges, les dojos de RIM Self Defense, financés en partie par la coopération française, sont devenus des espaces sécurisés, des lieux d’échanges et de conseils.
De l’appli au tatami, le combat de Dioully Oumar Diallo pour protéger les femmes mauritaniennes
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L’ingénieure télécoms Dioully Oumar Diallo, à Nouakchott, le 2 mars 2020. CARMEN ABD ALI / AFP