« Les techniques que j’ai apprises m’ont donné confiance en moi », explique Fatimata Sow, qui a suivi les cours pendant un an après une agression sexuelle chez elle : « Pendant les entraînements, je retrouvais des copines et on s’échangeait des conseils. Progressivement, je suis devenue moins timide. » Pour ces femmes de tous âges, les dojos de RIM Self Defense, financés en partie par la coopération française, sont devenus des espaces sécurisés, des lieux d’échanges et de conseils.
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