Cette prise en charge est « la responsabilité de l’Etat, qui s’est complètement désengagé« , regrette Halima Menhoudj, adjointe au maire de Montreuil, en charge du dossier.
« Honte »
« On est prêts à prendre notre part » et cofinancer des solutions pour sortir ces personnes des « conditions indignes« , poursuit-elle. « Mais pour l’instant, on n’a aucune réponse. »
Dans le squat, Kandé Touré s’insurge: « C’est la mairie qui nous a indiqué ce lieu« .