« On n’a pas le choix. Pourtant, tout ce dont on a besoin, c’est de papiers. Sans ça, pas de travail, pas de salaire, impossible de payer notre propre loyer« , explique-t-il à l’AFP, devant un frigo sur lequel est inscrit au feutre rouge « Merci de ne tousser ! ».
Un lavabo
« On ne mérite pas ça, on est des êtres humains. Un seul lavabo pour tout le monde… Ici on nous maintient juste en vie. Mais si on nous demande de partir, on va lutter pour nos droits« , abonde Kandé Touré, 44 ans, un responsable de l’association « Les Baras du 138 Montreuil ».