L’intrigant « commando » raciste qui sévit en Bourgogne

Le troisième acte a lieu plus d’un mois plus tard lorsque, jeudi puis vendredi derniers, des revendications sont envoyées aux quotidiens « le Bien public » et « le Journal de Saône-et-Loire », sur des messageries distinctes, créées spécifiquement. Le CDPPF endosse la paternité des attaques de Chalon-sur-Saône et de Dijon.

Mais pourquoi ce groupe ouvertement anti-maghrébin aurait-il visé des victimes européennes ? Il évoque deux raisons à cela. La première : un « test de nos techniques de fuite ». La seconde : « Aiguiller les enquêteurs sur une fausse piste »…