5. Car parallèlement des réseaux de corruption régionaux et internationaux continuent d’œuvrer activement à la survie du régime actuel : des sociétés impliquées notamment dans l’exploitation des terres rares du Burundi (à la fois présentes au Burundi, en Tanzanie et en Afrique du Sud), des intermédiaires impliqués dans le commerce des armes, des commissionnaires mafieux d’Afrique de l’Est, des sociétés de Conseil basées en Europe et aux USA sont particulièrement actifs. Le régime a également essayé de nouer ces derniers mois des alliances nouvelles avec des Etats peu regardant sur l’état des violations des droits de l’homme.