Twitter et les associations de lutte contre le racisme et l’homophobie parviennent à un accord mettant fin à la procédure judiciaire initiée en mai 2016.
En mai 2016, après avoir réalisé un premier testing dont les résultats s’étaient avérés assez faibles (4% de taux de suppression pour Twitter), les associations de lutte contre le racisme, l’antisémitisme et l’homophobie décidaient d’assigner en justice les principaux réseaux sociaux et plateformes internet à raison du non-respect de leurs obligations légales de modération qui leur imposent de retirer dans un bref délai les contenus manifestement illicites qui leur sont signalés.