« Ici, nous devons composer avec le harcèlement, que ça touche à nos tenues vestimentaires ou aux lieux que nous fréquentons. C’est extrêmement frustrant ». Il y a une dizaine de jours, la bônoise a été ajoutée par sa voisine à un groupe « secret » – dont nous ne citerons donc pas le nom – sur Facebook. Créée le 1er juillet, la page a rassemblé 1 500 femmes en une semaine. Elle en compte désormais près de 3 200, vivant toutes à Annaba. Objectif : leur permettre de se baigner sans être gênées, et de la manière dont elles l’entendent.
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