Enfonçant d’avantage le clou, l’écrivain explique le sous-développement des musulmans par leur incapacité à séparer la religion de l’Etat. « Pour eux, la religion c’est l’Etat. Ils se sont installés, ainsi, dans la servitude volontaire, parce qu’ils considèrent qu’il faut sacraliser les lois et le dirigeant qui gère selon la volonté du dieu », souligne-t-il.
Boualem M
lien complémentaire : « Un clergé islamique, non merci ! » Lettre ouverte au président de l’Exécutif des musulmans, Monsieur Echallaoui, et aux clercs musulmans de Belgique.